Charif Megabarne alias Cosmic Analog Ensemble signe chez Habibi Funk et dévoile un premier single reflétant parfaitement son œuvre contemporaine teinté d’une dose enivrante de grooves. Une gracieuseté du multi instrumentiste, producteur et phénomène du musicien de Beyrouth.
Avec une philosophie de musique Do It Yourself, Charif Megarbane a créé un style de musique instrumentale inimitable, un mélange de sonorités empruntées dans le monde entier et qui navigue sans effort entre L...
Charif Megabarne alias Cosmic Analog Ensemble signe chez Habibi Funk et dévoile un premier single reflétant parfaitement son œuvre contemporaine teinté d’une dose enivrante de grooves. Une gracieuseté du multi instrumentiste, producteur et phénomène du musicien de Beyrouth.
Avec une philosophie de musique Do It Yourself, Charif Megarbane a créé un style de musique instrumentale inimitable, un mélange de sonorités empruntées dans le monde entier et qui navigue sans effort entre Library Music des années 60’s, le psychedelisme du Moyen-Orient, l’afro-beat et les breaks hip-hop.
Megarbane appelle cela la musique « Lebrary » : une vision du Liban et de la Méditerranée exprimée à travers l’approche kaléidoscopique de la Library Music.
Les instrumentaux innovants de Megarbane s’inspirent de ses influences musicales très variées, des riffs de guitare imprégnés de fuzz des films de Blaxploitation, des rythmes percussifs du funk Ouest-Africain, à la psyché de la danse orientale Libanaise et à la musique de films Europeens des années 60’s. Le tout réinventé à travers une vision contemporaine. Également influencé par Ennio Morricone, Ziad Rahbani, David Axelrod, sa musique trouve également des liens profonds avec Ahmed Malek et Issam Hajali, tous deux également sortis sur Habibi Funk.
“Tayyara Warak” est le 1er EP de Charif sous son propre nom en dehors de ses sortie sur son propre label Hisstology Records. Son titre éponyme évoque le chaos de Beyrouth, les trajets en taxi à travers la ville accompagnés d’une mélodie douce et nostalgique et des sections rythmiques mouvantes comme des oiseaux de la ville volant aux travers des klaxons des voitures. “Commencer La-Bas”, expansif et narratif, mélange des cordes highlife et orchestrales, le nouveau départ de l’exil et de l’exode. “Flat Foot” quand à lui, boucle la sortie sur un “pied” plus léger avec un groove teinté de hip-hop et un motif mélodique qui pourrait illustrer quelqu’un descendant un escalier chaussé de tongs mouillées.
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