Charif Megarbane alias Cosmic Analog Ensemble signe chez Habibi Funk et dévoile un premier single.
Ancré dans une philosophie DIY, Megarbane a créé un style inimitable de musique instrumentale qui navigue entre bandes originales et library music des années 1960/1970, afrobeat, musique psychédélique moyen-orientale et breakbeats hip-hop.
En un peu plus d’une décennie, Megarbane a sorti plus de 100 albums, offrant un journal intime musical de ses sessions d’enregistrement nocturnes...
Charif Megarbane alias Cosmic Analog Ensemble signe chez Habibi Funk et dévoile un premier single.
Ancré dans une philosophie DIY, Megarbane a créé un style inimitable de musique instrumentale qui navigue entre bandes originales et library music des années 1960/1970, afrobeat, musique psychédélique moyen-orientale et breakbeats hip-hop.
En un peu plus d’une décennie, Megarbane a sorti plus de 100 albums, offrant un journal intime musical de ses sessions d’enregistrement nocturnes à Beyrouth, Nairobi, Paris, Londres ou Lisbonne – les différentes villes dans lesquelles il a vécu. Utilisant de multiples autres pseudonymes tels que Trans-Mara Express, Tapeman No.1, Free Association Syndicate et Monumental Detail, la vaste discographie de Megarbane est disponible sur son propre label indépendant et plateforme numérique Hisstology Records, véritable fenêtre sur son univers musical, dans lequel il joue (presque) tous les rôles.
Depuis 2009, Megarbane a sorti 31 albums sous le nom de Cosmic Analog Ensemble, à travers lesquels il a développé une forme de signature sonore, à savoir une library music analogique et abstraite du 21eme siècle, imprégnée du soleil des côtes méditerranéennes.
“Tayyara Warak” est le 1er EP de Charif sous son propre nom en dehors de ses sortie sur son propre label Hisstology Records. Son titre éponyme évoque le chaos de Beyrouth, les trajets en taxi à travers la ville accompagnés d’une mélodie douce et nostalgique et des sections rythmiques mouvantes comme des oiseaux de la ville volant aux travers des klaxons des voitures. “Commencer La-Bas”, expansif et narratif, mélange des cordes highlife et orchestrales, le nouveau départ de l’exil et de l’exode. “Flat Foot” quand à lui, boucle la sortie sur un “pied” plus léger avec un groove teinté de hip-hop et un motif mélodique qui pourrait illustrer quelqu’un descendant un escalier chaussé de tongs mouillées.
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